1 – Présentation de la fiche synthétique de Cap Com’ : « la communication publique »– Echanges sur les contenus de cette fiche.
On notera que nul part n’est spécifié la vocation politique ou « éléctoraliste » de la communication publique ! Tout se passe comme si les émetteurs n’avaient pas l’intention de mettre en valeur ce qu’ils ont fait afin de valoriser leur réélection. Cette vocation n’est jamais patente mais plutôt latente. Il faudra dès lors ne jamais oublier de repérer cette dimension performative (valoriser l’action des élus, des responsables) dans tout discours publique.
2 – Présentation générale du cour : Le cadre de réfléxion : la communication politique et institutionnelle. Quelles implications pour une communication unidirectionnelle et « descendante ». Quels défis et quelles embuches ?
3 – Présentation du concept de communication. Rarement un concept n’a été aussi large et difficile à appréhender.
Si l’on se penche sur le schéma de Jakobson on réalise qu’il ne rend pas compte de l’ensemble de la réalité. Il omet par exemple le feed-back.
Le structuralisme a mis en évidence la richesse du concept de communication, notamment à travers la communication non verbale ! car l’homme a la capacité d’utiliser deux modes de communication : digital et analogique
>> lire l’extrait de « une logique de la communication »
Quand on écrit un discours pour un homme politique, les deux sont en jeu, le texte (le contenu, la forme, le digital) et l’acteur (le contenant, la forme, l’analogique). Le texte peut être bon, si l’acteur ne l’est pas… c’est raté. la relation n’est pas renforcée.
Alors qu’un texte scientifique n’a que peut à se soucier de l’analogique, il n’est pas là pour séduire mais pour convaincre rationnellement.
Pour le prochain cours :
> Etudier l’article d’Arnaud Mercier